L'emetteur | À nos Atrides !
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À nos Atrides !

D’après la trilogie de L’Orestie d’Eschyle

Adaptation et mise en scène : Laurent Pérez

Collaboration à la mise en scène : Sarah Freynet

Avec : François-Xavier Borrel, Roland Bourbon, Clemence Da Silva, Régis Goudot, Agnès Claverie, Mathieu Hornain, Sylvie Maury, Laurent Pérez

Musique : Roland Bourbon

Vidéo et son : Mathieu Hornain et Pierre Comte

Scénographie : Camille Bouvier

Création lumière : Didier Glibert

Costumes : Alice Thomas.

Durée : 2h

Coproduction : Théâtre Sorano, Théâtre de la Cité, Théâtre Jules Julien et Du Grenier à la Scène à Toulouse.

Partenaires : Théâtre de l’Usine de Saint-Céré, Théâtre du Pont Neuf de Toulouse, Théâtre de la Maison du Peuple de Millau, Théâtre Municipal d’Aurillac et le Théâtre de Jean-Vilar de Montpellier

Ce spectacle reçoit le soutien de la DRAC-Occitanie, la Région Occitanie, d’Occitanie en Scène (dans le cadre de son accompagnement au Collectif En Jeux), le Conseil Départemental de la Haute-Garonne, la Mairie de Toulouse, de la Spedidam (La Spedidam est une société de perception et de distribution qui gère les droits des artistes interprètes en matière d’enregistrement, de diffusion et de réutilisation des prestations enregistrées) et de l’ADAMI (L’Adami gère et fait progresser les droits des artistes-interprètes en France et dans le monde. Elle les soutient également financièrement pour leurs projets de création et de diffusion.)

Adaptation de la trilogie de L’Orestie d’Eschyle, A nos Atrides ! réunit 8 interprètes, femmes et hommes, choeur d’artistes pour interpréter ce dernier volet de la malédiction des Atrides. Corps, voix, musique et vidéo sont les matériaux de la représentation d’une tragédie qui est celle de de la violence endémique de l’espèce humaine. Cette violence, c’est la nôtre. Les Atrides, c’est nous.

Qu’est-ce qui rend possible le massacre d’un peuple par un autre peuple ? Qu’est-ce qui fait qu’un homme, un père, puisse sacrifier sa propre fille à ses desseins de conquête? Qu’est-ce qui conduit une femme à massacrer son mari, avec la complicité amoureuse du cousin de la victime? Qu’est-ce qui amène une fille et un fils à projeter le meurtre de leur propre mère et à l’égorger publiquement ?
L’Orestie d’Eschyle, 500 ans avant notre ère, pose la question d’une violence endémique émanant des fondements même d’une société humaine.
Cette violence, c’est donc la nôtre.
Les Atrides, c’est nous.